PLURIFOR
Plans de gestions des risques transnationaux pour les espaces ruraux forestiers sensibles aux risques biotiques et abiotiques
Axe 4 Lutte contre le changement climatique
Objectif 5b Amélioration de la coordination et de l’efficacité des instruments de prévention, de gestion des catastrophes et de réhabilitation des zones sinistréesGalerie d'images
- Sécheresse
- Erosion des sols
- Incendies forestiers
2. Institut National de la Recherche Agronomique. UMR1202 BIOGECO FR
3. Instituto Superior de Agronomia PT
4. Instituto Nacional de Investigação Agrária e Veterinária, I.P. PT
5. NEIKER-Instituto Vasco de Investigación y Desarrollo Agrario, S.A. ES
6. Fundación Hazi Fundazioa ES
7. Union de Selvicultores del Sur de Europa, AEIE. ES
8. Instituto Galego da Calidade Alimentaria. Centro de Investigación Forestal / Lourizán ES
9. Tecnologías y Servicios Agrarios, S.A. Subdirección de Medio Ambiente, Pesca e Ingeniería. Gerencia de Desarrollo Rural y Política Forestal ES
10. Universidad de Valladolid. Departamento de Producción Vegetal y Recursos Forestales. Escuela Técnica Superior de Ingenierías Agrarias ES
11. Fundación Centro Tecnologico Forestal y de la Madera ES
Résumé du projet
Les forêts couvrent plus de 30% du territoire en France, en Espagne et au Portugal, et représentent un espace rural très sensible à de multiples dangers (insectes, maladies, tempêtes, incendies) au-delà des frontières administratives. L'objectif de PLURIFOR est d'atténuer les conséquences de ces dangers, en réalisant ou en améliorant des plans de gestion en Espagne, en France et au Portugal. Dans une perspective transnationale, le projet organisera des événements de formation et d'échange d'expériences et développera des outils de gestion forestière innovants et partagés, en faisant participer les citoyens dans l'évaluation des résultats.
Régions participantes
- Aquitaine
- Castilla y León
- Comunidad de Madrid
- Galicia
- Lisboa
- País Vasco
- Principado de Asturias
- Agences locales de développement
- Agences régionales de développement
- Collectivité territoriale régionale
- Collectivité territoriale locale
- Autres centres d'enseignement
- Fondations (sauf C7)
- Grande entreprise
- Entité mixte universités - entreprises / Fondations universitaires
- Parc national
- Parc naturel regional
- Trés petite entreprise (TPE)
- Universités et centres d'enseignement supérieur
Estado de avance del proyecto
PLURIFOR répond aux problèmes de santé et d'organisation liés aux forêts du Sudoe en proposant des plans de gestion des risques et des instruments techniques adaptés. Pour cela, il s'est concentré sur 8 problèmes des forêts de la région : tempêtes, incendies, dégradation des sols, nématode du pin, châtaignier cynips (¿), charançon de l'eucalyptus, chancre du pin, pathogènes dévastateurs et exotiques ou émergents.
Parmi ses activités, PLURIFOR a réalisé :
- Une analyse des instruments manquants dans les plans de gestion des risques forestiers existants et l'identification des plans manquants. À cette fin, des activités d'immersion ont été menées dans des agences chargées de la gestion des risques forestiers. Ainsi, il a été possible d'analyser les forces et les faiblesses des méthodes actuelles de gestion des risques. Les données ont été classées selon qu'elles s'appliquent à une région spécifique ou plus globalement.
- Une amélioration des plans de gestion et des instruments existants.
- Un test des plans de gestion des risques améliorés pour évaluer leur efficacité dans un contexte opérationnel, avec différents utilisateurs de la forêt.
- La validation de ces plans à travers des ateliers destinés au grand public.
Ainsi, PLURIFOR a développé 13 plans et 27 instruments de gestion des risques forestiers. D'autre part, le projet a diversifié les instruments de gestion des risques utilisés au niveau local, basés sur l'adaptation d'instruments utilisés dans d'autres régions. Par exemple, des cartes des combustibles et des zones à risque d'incendie ont été créées pour les Asturies, en s'inspirant des techniques basques. D'autre part, le projet a encouragé la participation des citoyens, en créant une application «Silvalert» qui permet aux citoyens de signaler les dommages dans les zones forestières et d'envoyer un avis aux autorités compétentes.